J’avoue à mon grand regret comme Denise celle de la boum ne pas plus m’y connaitre en musique qu’en cinéma
Mais fort d’inexpérience j’ai décidé de m’y jeter
Alors au début il y avait le cinéma et je n’y comprenais rien ni de près, ni de loin, ni de large ni Delon d’ailleurs je ne trouvais chapeau à ma tête, ni borsalino d’ailleurs et qui plus est-il m’entrainait sur des chemins pornographiques en me parlant de Rocco et ces frères, de trente-cinq millimètres, je n’y comprenais rien.
Alors que dire des barbouzes qui sur la planche avec Blanche Francis planchait sur l’alcool et que Bernard se Blier de rire, pour ne pas dire se pouffait, donc je décidais d'en rajouter une couche en ajoutant une corde à Mireille d’Arc.
Après cela comment revenir au grand cinéma, j’ai pourtant essayé en regardant Apocalypse Now mais alors que Francis Ford copulait, Marlon prenait un tramway nommé délire et sombrait en pleine crise d’alcoolémie en sirotant un dernier tango à Paris , ou étais ce un Monaco cela n’a guère d’importance en fait j’étais de trop , il y avait son parrain qui l’accompagnait .
A grands pas de grands gourou je décidais d’un bond de me transporter vers des comédies plus légères et plus apte à la compréhension de mon état d’esprit c’est-à -dire proche du zéro, vous le connaissez tous zéro, zéro un cavalier qui sort de l’ombre, zéro zéro vainqueur il l’est à chaque fois.
Donc je suivais grand seigneur monsieur de Funès et puis louis au moins il me faisait rire
Je l’accompagnais et me présentait ’Eddy qui bâclait au bord de la piscine ces partitions musicales, à ces cotés l’on pouvait voir de loin, mais pas si petit que ça Michel Legrand, alors que Brigitte bardot m’interpelle et me montre un jeune homme plus loin c’est Sacha DISTEL d’un air enjoué, il y avait bien un autre homme mais il Trenet les pieds c’était Charles.
Mais je reviens à notre célèbre gendarme je le suivais ni vu ni connu, il me présente JO et lors que nous continuions la traversée de Saint tropez j’aperçu grosso modo, le pauvre Claude Risch qui lui ne faisait pas le corniaud mais répétait son rôle.
Je restais béat devant tant d’amis et comprenait ce qu’était vraiment une star, mais le regardant il fut pris d’une larme, le grand homme pas avare me dit qu’il était heureux en tant que terrestre mais qu’en observant le ciel il se sentait triste et un peu dans les choux depuis que son ami jean l’avait laissé seul sur terre et observant le ciel il me sourit et me dit que finalement il n’y avait rien de funeste Louis , et que la mort avait cela de bien qu’il retrouverait ces amis , qui étaient tous des enfants du paradis , comme monsieur jean Carmet et aussi monsieur marcel carné .
Mais cela c’est une autre histoire. Une autre histoire de cinéma
----------------
la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann