Quand pleure celui qui souffre.
Étrange ballet des larmes qui passe.
L'oiseau noir déverse le soufre.
La terre s'ouvre a la vie qui s’efface.

Maux si puissants devenant peurs.
Posant ce voile glacé en seul fardeau.
Le vent s’engouffre à toute heure.
Brisant l’échine du renégat en cadeau.

Le ciel offre ses ouragans en silence.
L’âme écrasée fuit sous la vindicte.
Un homme à genoux attend sentence.
Camarde près de lui glousse et dicte.

La route s'efface, le gouffre s'ouvre.
La terre est devenue engeance de feu.
A jamais, la folie beugle et rouvre
l'abysse de l’extinction des heureux.

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c'est très finement écrit , très belles rimes
mes amitiés
yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

Mettre des mots sur la souffrance,bravo pour ce beau texte...

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Mon voeu cette année procurer du bonheur dans mes textes ou histoires.

Cette folie qui beugle et rouvre l'abysse de l'extinction des heureux.
Il y a du style et de la rime, dans un rythme éfrené !
C'est de la belle poésie, tout simplement !

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ombres et cris

émouvant écrit

le troisième quatrain est mon préféré
quelle intensité, dans vos mots

doux samedi

amitiés A

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

Bonjour perpetior, des ombres et cris dont vous avez magistralement traduit le souffle de l intensité.