Salar d’Uyuni

J’étais dans le Salar d’Uyuni en Bolivie
Vaste champ de sel désert où personne ne vit
Nous étions en 4X4 moi et ma copine
Canadienne, près d’Indiens tannés la mine

Hermétique en quelque sorte taciturnes
Mais très francs et gentils parlant le beau quechua
Souriant souvent et nous montrant entre autres choix
Le lac émeraude - ou rose - beautés diurnes

S’il en est – la maison de sel et les thermes
Ou nous nous sommes arrêtés enfin une perm’
Perm’ dont nous avons profité à foison tous nus

Sous le soleil brûlant – des geysers non loin, là
Sous nos pieds, nous riions et clapotions perdus
Perdus dans l’immensité. Jeunes étoiles. Eclats.

Bonsoir Bubblegum, j´ai beaucoup apprécié cet autre intéressant partage poétique et culturel que vous nous offrez aujourdh´ui :
le Salar Uyuni qui doit être un endroit vraiment particulier, le lac émeraude dont le seul nom fait rêver et la présence des amérindiens apportant une belle touche pittoresque á votre récit . Merci pour cette riche et belle lecture !

Bonsoir bubblegum, très beau poème, une nouvelle découverte culturel passionnante


Amicalement

des vers qui transportent ailleurs!
Merci!

----------------
Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
...............................................................................................
Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

Merveilleux voyage sur lac d'émeraude où nudité rime avec "merveilleux" ! J'ai aimé ce dépaysement !

----------------
« La poésie - par des voies inégales et feutrées - nous mène vers la pointe du jour au pays de la première fois.  »
de Andrée Chedid

Bonjour Bubblegum

Vous nous offrez un dépaysement total, une autre contrée en paysage de liberté et de sérénité, heureux d'être et de s'offrir nus à la nature, deux belles étoiles au firmament.

Amicalement Franie

----------------

Voilà une chose d'apprise : "parlant le beau quechua" je ne connaissais pas, enfin peut-être pas en tant que dialecte...
Merci pour cette nouvelle randonnée.

----------------

Ca m'a l'air bien d'être une contrée bien sauvage. Un vrai bonheur pour le dépaysement, une terre où l'on se sent revivre parce que l'on semble ne pas y perdre de sa jeunesse !

Très joli poème.

Bravo.

Fanny

Il faudra vous remercier pour l'excellence de cette épopée poétique.
Richards.