A l’orée des bois, lors de longues solitudes,
J’ai rêvé de Rousseau et de son promeneur.
Il avait en son nom répandu en mon cœur
Des sentiments perdus mêlés d’incertitude.

Le brouillard du lac est monté sur les sapins
Envahissant doucement le ciel bleu du soir.
J’eus regardé longtemps ce duel incertain
Mais la nuit arriva sans vraiment le vouloir.

Je n’hésitais plus et la voix de la raison
Se mit à jurer que j’allais m’en repentir
Mais il était trop tard, le bonheur de partir
Avait effacé Rousseau et ses oraisons.

Bonjour Nicolas un bel instant de poésie derrière ta belle plume.
Mon amitié.

Capricorne

Comment la nuit pourrait-elle effacer la lumière des oraisons de Rousseau ?
HONORE

une très belle lecture

superbe poeme, le ton rappelle la rêverie de Rousseau, en parfaite symbiose ,


bravo,


yann

J'ai partagé un instant cette promenade solitaire...

Bonne soirée

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Un tour de main sur les mots
Qui absorbent le penseur et le Promeneur
Une belle rencontre entre doutes et délivrance
À l'orée de la forêt faire demi tour et vite rentrer
Il est des endroits que l'on aborde
Mais où l'on ne pénètre pas

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Merci Capricorne, Honoré,Felinelove,Islander,Soliane et missterre de vous être promenés par là.

Nicolas

merci de ct intant délicat, toutes les rêveries du promeneur solitaire y sont dessinées avec subtilité et poésie, superbe,


yann

Merci Islander.
Réfléxion faite, je vais peut être rajouter un quatrain.