Sur le banc je m’assoie et relis ma pénible préface
Dans la page d'un hier où la douleur est ancre de l'ennui
La fatigue ne me lâche aux langueurs des jours
M'abandonnant à la réalité de l'unique absence
Les maux fourmillent, rendent mon esprit lourd
Me noyant sous la vérité qui abolit mes sens
félicitations pour ce duo
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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo