Le 15 juillet 1924, on est,
Dans la ville du Morne des esses,
J'entend du bruit, je me lève,
M'man Constance qui se préparait,
Elle, c'est la mère de ma mère,
C'est elle seule qui m'élève,
Elle veut que je sois fonctionnaire,
Ne travaillant pas comme elle,
C'est pour ça que je me démène,
Pour toujours être un bon élève,
Pour ne pas vivre dans la misère,
Et là, je serai le seul martiniquais,
Qui rendra fière ma grand-mère.

Je te comprends
merci de ce partage
mes amities!

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Je ne suis qu'un individu de plus dans le rouage dans la vaste machine cosmique. Moi, qui croyais être libre et autonome, je ne suis qu'une poussière dans l'univers...

Bonjour Mr Guyguy, un touchant hommage a votre grand-mere .

Emouvant hommage à cette grand mère courage. Le titre prête à équivoque. Comme tout les migrants la population se rassemble par affinité, familiale, tribale et religieuse. Une manière de se préserver et de se protéger mutuellement

Bel hommage à cette Grand-Mère.....Elle sera fière...je pense....
***Dan***..........

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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***