Elle marchait sur l'herbe
D'un pas léger et gracieux
Un vent doux faisait vibrer ses cheveux
D'elle émanait la beauté que la passion exacèrbe
Je ne la voyais qu'à peine à travers la nuée
Mais je savais que c'était elle, le mystère l'entourait
J'aurai voulu mourir en l'instant
Pour ne garder d'elle que ces moments
Où je ne la voyais
Que dans mes pensées
Mais je ne mourrais pas
je restais eveillé
A rêver de ses bras
Sans pouvoir la toucher
Je rêvais d'elle
Quand la mort vint la chercher
Je ne trouvais qu'un peu d'elle
Sur le haut de ma cheminée
Une photo était là
Comme pour encore me narguer
Ce n'est qu'au fond d'un verre de vodka
Que je retrouvais la chaleur de ses bras
Que je n'ai fait qu'imaginer
Parce que cette femme là
Personne ne la connaissait
Elle vivait recluse avec son chat
Et je ne saurai jamais
Si elle était mariée
Pourquoi elle courait au matin
Avait-elle du chagrin
Pour cette vie dejà toute essoufflée
Jamais personne ne l'a su
Parce que cette femme n'existe pas,
C'est moi qui l'ai consue
Dans la frayeur de mon trepas...

si c'est toi qui la consu elle doit être belle.

J'ai bien aimé la façon dont ton poème est présenté !

Amitié

Un poème écrit avec beaucoup d'originalité...

J'ai beaucoup aimé

Bisous

si tu savait comme je te comprend
c est tres jolie

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aramenes

très joli, très bien écrit, très imaginatif.
une belle réussite.

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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)

Magnifique ce poème !! Tu aurais dû la laisser vivre encore dans ton imagination, je pense que celà devait beaucoup t'apporter !

bisous

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