La nuit sème des rêves dans la tête des enfants,
Moi je me promenais seul à travers ce néant,
Quand une étrange clarté me frappa,
A travers la nuit elle guidait mes pas.
Le temps s'arrêtait,
A l'intérieur, mon cœur battait,
J'étais l'univers,
Et sans aucune barrière,
J'oubliais ce passé,
Qui m'avait tant oppressé.
Comme deux soleils qui s'éclairent,
Nous devenions lumière.
Mais même les cieux,
Finissent par se couvrirent,
Et un message malheureux,
M'appris qu'elle dû partir.
Le temps repris son cour,
Elle était heureuse et vivait d'amour,
Le monde que j'avais entrevu,
Finalement disparue.
Mais le temps est incertain,
Et quelque peu taquin,
Alors pour s'amuser,
Il nous fit nous rencontrer.
Ce fut un moment inattendu,
Dans mon village perdu,
Nous étions partit sans rien dire,
Et nous avions inventé l'avenir.
J'aurai aimé que ce rêve continu,
Au moins jusqu'à ce qu'on ne vive plus.
C'est vrai,
Je n'ai pas grand chose à t'offrir,
Si ce n'est mon amour,
Ces poèmes qui te font rire,
Et ces cieux de velours,
Sous lesquels j'inventerais,
Des histoires fantastiques,
Et même un peu romantique,
On croisera des lutins,
Des dragons, des chapins,
Des licornes par milliers,
Qui viendront déposer,
Des baisers de tendresse,
Sur ton coup de déesse.

Nostalgie dans ce beau poème...


Merci ...Amitiés cyrielle

Bonsoir Stef;
Trés beau partage.

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Rêver au-dessus des nuages,

une plume nostalgique qui regarde en avant, j'aime,

yann

Un beau rêve, voyageur des songes vagabondant vers l'amour.
Très beau.
Amitié
Jean-Pierre