Dans le ciel vole un aigle ,
Qui décrit des cercles d’ombre,
A grand coup d’ailes ,
Sur une souris il sombre.
Dans l’éternel du temps j’attends ,
Un signe de Dieu ,ou de Satan,
Ne croyant à rien je prétends,
Que dans le cœur est le printemps.
Donner de moi le meilleur,
Pour à l’écrit faire ses honneurs,
Et cacher mes larmes de malheur,
Sur un visage buriné mais rieur.
Demander à mon miroir ,
Qui reflète un peu d’espoir,
De me donner tous ces pouvoir,
Et dans le noir enfin te voir.
----------------
lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"