Les mots bleutés coulent le long du clavier fabuleux
Pour répandre sur PC mes quatorzins satinés.
La poétesse est emportée par les flots déchaînés
Se cognant contre les rimes: ces rochers nébuleux !
Après la forte tempête et l'orage vigoureux,
Les mots s'assagissent en suivant votre loi dictée
Recherchant sur le net des internautes connectés:
Mes vers sont l'agitation du poète langoureux !
Se paufinent les contours lents du sonnet diurne.
Ses rives Immuables bordent l'Internet divin,
Quatrains et tercets séduisant l'encre taciturne.
Mes vers liquides Prennent vie et respirent enfin.
Au rayon de lune reflétant la paix nocturne,
Couleront librement et sans jamais avoir de fin.
29 OCTOBRE 2006
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La beauté intérieur ne se fane jamais