Je n’étais qu’un enfant
Sans grande parole
Parfois on m’appelait
Sur le banc des nominés

Mais j’aimais beaucoup mieux
Regarder au dehors
La vie qui grouillait d’froid
Là, où on n’a pas l’choix

De fixer le grand air
Pour se nourrir d’une voie
Qui se pose comme un flocon
Sur un néant d’jeunesse

Là, où ne reste que l’amour
Pour lier le destin
Amarré quelque part
En secret sans se perdre .

Y’avait une place vide
Entre moi et l’décor
J’ai pris un bout d’azur
Pour m’en faire des yeux

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sylvianni

magnifiquement lumineux...
merci du partage

J'ai beaucoup aimé ton superbe et touchant poème !
Quelle belle lecture d'une immense profondeur !

Bonsoir Sylvianni,

Un magnifique poème pour s'évader d'un entourage que nous fuyons
Un beau partage sous votre belle plume qui m'a ému
Bonne soirée amitiés bonne semaine

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Bonjour sylvianni, fort bel écrit poétique

Amicalement

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La poésie, c'est comme la cuisine, le mot faitout

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Bonjour Sylvianni,

Grande profondeur en ta superbe poésie humaniste !



Belle journée!
Amitiés
Sybilla

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Presque toutes mes poésies ont été publiées en France et ailleurs avec les dates "réelles" de parution.


Le rêve est le poumon de ma vie (citation de Sybilla)

chacun(e) doit prendre sa voie que "il ou elle a choisi"

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https://www.edilivre.com/peregrinations-29f53ef39f.html/