Au printemps d'un amour,
A l'automne d'une vie,
Je ne peux faire preuve de bravoure.
Moi qui avait tant redouté ce jour,
Où l'on me donnerait les clés du paradis.
Me voiçi, couché dans ce lit, attendant mon heure
Mes muscles sont engourdis
Et ma mémoire me fuit
Je crie,hurle et pleure
En repensant à mon bonheur
Au loin, les oiseaux sifflent un requiem,
Musique sinistre qui vous arrache à ce qu'on aime
Mon amour quand tu me verras sans vie
Ne pleure pas, mais souviens toi seulement
Que durant toute ma vie,
J'aurai été un mari aimant
Ange dont je partage la vie,
Femme qui m'offrit le paradis,
Pourquoi m'ouvre-t-on les cieux?
Alors que mon bonheur est dans tes yeux
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arnoldo