Ta grand- mère, alzheimer l' a emportée;
Tes Larmes de mon amour j'ai essuyé
Extirpé du mieux que je pouvais ta douleur.
Le vide pourtant se balançait sur mes p(l)eurs.
Tu m'avais fait le serment, du coeur
Celui d'être toujours là , présent.
Une nuit d'hôpital dans le coma,
Tranquillisants, alcools j'ai avalé; livide
Un message envoyé, détresse ignorée
Seule la mort me tendait ses bras.
Dans l'indifférence le silence ricanait:
Ingratitude en réponse, tornade de sang
Les mois ont passé, vents sordides.
IL ne m'a jamais rappelé, veines tailladées
Tu as pris le meilleur de moi, le mal s'est éveillé
J ai serré les poings, cicatrices empoignées,
L' esprit de l'Ange Noir est venu me chercher.
depuis...
Paradoxe, force fragile lacère mon être
Le temps bascule, file, plus rien ne sera
L' espérance est étole de grâce seule...
Quand la nuit glaciale m' offre sa place.
(retouché)
----------------
http://stopauxviolences.blogspot.fr/2010/06/les-violences-psychologiques-au-sein-du.html
http://www.objectif-mieux-vivre.com/violences-conjugales/violence-conjugale-culpabilisation-victimes/