Comme un rayon qui s’efface au loin, qui se cache je ne sais où,
Comme une vague qui se retire laissant place au sable doux,
Dans le plus profond des silences, tu es partie là bas
Je n’ai pas eu le temps de te prendre dans mes bras.
Je pense à toi et je ne t’oublie pas, et cela tu le sais,
De là -haut, tu peux voir ces roses blanches qui te sont destinées,
Chaque semaine au pied de ta tombe afin de te fleurir,
Car je me souviens de toi comme si hier il y avait ton dernier sourire.
Malgré la distance qui nous sépare, je sens ton cœur battre contre le mien,
Cet instinct qui de si loin nous rapproche, mais pour autant tu ne reviens,
C’est dans ses mots que je place, dans beaucoup de mes poèmes,
Que je veux te montrer à quel point, toujours je t’aime.
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