Les indiens Kogis sont sortis de leur repos de l’ombre
De ce silence qu’ils s’étaient imposés
Pour se mettre face à la lumière, la source et démontrer
Qu’ils avaient réussi leur épreuve et être lanceur d’alerte
Voulant garder cette expérience vie et qu’ils avaient respecté
La loi universelle régit sur ce centre la terre mère
Quelle magnifique aventure, cette belle expérience,
Elle a été donner par amour de la création
Regrouper toute cette connaissance de cet univers B
En ce voyage au centre de cette sphère la terre mère,
Devoir vivre malgré toutes les adversités
En équilibre, en paix, en amour, en ordre avec respect
En cette loi universelle par la sélection naturelle
Devant atteindre la perfection en son Adn
En cultivant le jardin dans cette vallée de l’Éden.
Alors le lion malgré cette férocité, devant s'imposer
Mais laisser libre après satiété la gazelle
Et celle-ci pouvoir même s'échapper après une attaque
Rien n'étant acquis en cette survie.
Composer cette symphonie, en gardant le tout en équilibre
Le savoir de tout le vivant, le vivre ensemble.
Ce fil harmonieux, en ce cœur, ce chœur d'une même voie
En cette même voix, tous ensemble en cet atome, O2,
L’infini vivre en matière matérialiser seul le ressentit
Le tout unis vers celle, la substance invisible, la source en,
Le cœur de la vie par cette conscience réunis en son centre
Le triste bilan de cette épreuve, il en est cette preuve
Dégénérescence, connaissant son âge de fer
En sa rouille, inadapté, ce cœur qui n'a pas su
Faire entendre sa voix en sa voie, notre humanité
Étant la seule fausse note à la création sublime
De cette bonne nuit, en son bonjour...
Ne réussissant pas son voyage au centre de la création.
Humanité devenue la cellule dissidente
Voulant créer son propre destin, en son centre
Le corps est en danger créer par cette cellule son propre cancer.
Sa fin annoncée. Mais le corps se défend, elle n’est cellule
Que d’une petite cellule d’une petite cellule en ce microcosme…
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