Comment t'appelles-tu, je t'appelle espérance,
Fleur venue de la nuit qui s'éveille au matin,
Petit air de violon qui crève le silence,
Comment t'appelles-tu, mon rêve de satin.

Tu m'as fait découvrir un monde de mystères,
Nous avons survolé tant et tant d'océans,
Promené nos regards tout autour de la terre
Tous les deux enlacés dans un chariot tout blanc.

Et, s'il fut bien trop court ce sublime voyage,
Si je n'eus pas le temps de te connaître mieux,
J'en garde un peu de vent qui fouette mon visage
Des étoiles bleutées qui éclairent mes yeux.

Reviens quand tu le veux, je t'ai fait une place
Dans le lit de mes nuits qui n'attendent que toi,
Je voudrais que jamais, que jamais ne s'efface
Cette ombre de bonheur que j'ai touchée du doigt.

Je te dirai alors, ma belle parenthèse,
Qu'il n'est plus grand pouvoir que celui de ton corps,
Pareil à cette mer qui ronge la falaise,
A ces notes de feu qui chantent un accord.

Bonjour, superbe poème, merci pour ce sublime moment de belle et douce lecture


Amicalement

superbe, une déclaration d'amour à lire et à relire,

merci

yann

C'est un très beau voyage porté sur les ailes d'un rêve enchanté. Merci !

une très jolie déclaration

EvilFranck, Islander, majanine, felinelove, merci de vos gentils commentaires.
Amicalement à vous et à tous.
LG