Un matin que vous partez, un soir que vous rentrez
De la routine fatigué, Que le temps se soit changer
Et que vous semblez reconnaître un vent léger
Que votre coeur s'emballe sous un ciel nuancé
Que l'ésprit n'est point d'autre volontées
Que de s'envoler... que de s'oublier...
Cela accompagnée d'une douce mélodie
Marcher droit soigner sa mélancolie
Prendre un autre chemin que la vie
Eviter la mort, bouger par l'envie
Sur ce territoir abstrait votre âme fuit
On vous appelle et on vous dit:
Marche droit et oublie toi, tu n'es personne
Peut importe ce que l'on t'offre ou te donne
Peut importe que tu ne soit plus là à l'aube
Cela vaut la peine d'avoir l'âme folle
de s'envoller... de s'oublier...
un vent qui semblait indiqué...
L'avenement de ta déstinée
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Bien que étant ennuie, tu aimeras la vie
Tu ne te pauseras point de questions
Mais tu sauras que l'être est de chair
Et jamais il ne te sera cher
car dans ses yeux tu ne peux lire
car dans ses actes tu ne peux rire
Et tu auras alors ton monde
ou ta
