Re: Le silence ... Aux intellos...
Les petits suent pour..
les grands-sans-visages,
petits à leur tour devant..
les hommes-aux-sous !
Les premiers se faufilent..
entre les épines,
pour tendre la fleur et le coton
aux mains lisses,
ces dernières en tapissent.
Les gros ventres ne se suffisent
ni se rassasient..
L’eau des corps-bouchées s’évapore
et
le sel les conserve pour que les liasses grandissent.
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Que de beaux vers profonds comme à l'accoutumée cher Abdelkader,
Bel art !
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Dis moi cher ami ! Tu ne t'adresses pas aux caméléons par hasard ?!
amitiés
Allal Ferri
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