Moi déjà tout p'tit je savais c'que j'voulais, Faire rêver les filles, simplement les aimer.

Des couettes aux tabliers, d'la maternelle au CP, Les filles d'moi, j'crois qu'elles avaient tout capté.

Cause cortisone, juste env’loppé, pas loin d'chez moi y'avait l'collège, Encore des filles et leurs sourires qui m’accordaient cent privilèges.

Au lycée tout continue et tout s'enchaîne pour un manège, Qui tourne encore et me rend fou, qui a mis mon âme au fond d’un piège.

Les études terminées la vie professionnelle m’appelle,
J’ai résumé ma vie en un simple sourire d’elle.

Mélancolie et désaccords se foudroient sous mes vers,
Je suis l’arbitre silencieux de tout ce qui va à l’envers.

J’ai tant recherché le bonheur au travers de ton regard,
J’ai trop longtemps attendu que revienne m’éclairer son phare.

Moi déjà tout p’tit je savais c’que j’voulais,
Mais grand je ne sais plus si j’ai le droit d’aimer.
Alors mon cœur a découvert que jamais l'imaginaire ne s'use, Si on demande à Poésie de devenir sa muse.

Estéban, j'ai pris plaisir à te lire , mais je serais d'avis que tu habites, plutôt , sur le versant SUD de ton cœur!


Amicalement
Nat

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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.

j'aime beaucoup, parler avec son cœur et la poésie devient lumière,


amitiés


yann