Sur le pont de Mirabeau chantonnent les saltimbanques la chanson du mal aimé
Un automne malade au goût de parfum exotique caresse la sensation d'un pari
Et des conseils à une parisienne pour retrouver le bar « Les orientales » à Paris
Comme les tristesses de la lune admirent les contemplations d'un vers parsemé
D'étoiles filantes où elles explosent dans les fleurs du mal d'une oraison du soir
Où jadis et naguère, ces poèmes saturniens tissent la bonne chanson dans le noir
Dans les chants du crépuscule raisonne la chanson de Barberine aux derniers vers
Comme cette tristesse déchire dans l'âme du vin où les arômes sublimes d'un verre...
Cette harmonie du soir colore les parfums de la légende des siècles dans sa sagesse
Et cette sculpture de Vénus Anadyomène est le reflet de l'art d'une grande déesse
Quand le dormeur du val se réveille, l'albatros dessine le coucher de soleil romantique
Notre Dame de Paris illumine les vers dorés, les rosaces d'une nef au coeur gothique
Et le coucher du soleil, dans une allée du Luxembourg, une femme est l'amour
Dans ses vers colorés, vous allez voir ce que vous allez voir dans ses cheveux de velours
Si la courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur, l'amoureuse de Paris vole
Quand l'hirondelle du printemps cherche les vielles tours, mon âme s'envole
Comme une victoire à l'Arc de Triomphe, c'est le commencement d'une illusion
Perdue dans ces recueils où le poème éploré se lamente de cette souffrante vision
A travers ces vers, j'ai cité vos plus belles poésies célèbres!
Voici cette éclosion de noms
Victor Hugo
Verlaine
Rimbaud
Baudelaire
Guillaume Apollinaire
Alfred de Musset
Gérard de Nerval
Paul Eluard et Jacques Prévert
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Alain Janocha