La rose rouge fierté de la beauté d'aimer.
Elle était là .
Ne bougeait pas.
Sur l'herbe fraîchement coupé.
Une odeur de gaité emblissait ses beaux traits.
Apeurée elle regardait le ciel le questionant sur sa destinée.
Ses cheveux ondulés semblaient vouloir s'en échappaient.
Seule la belle avait pour témoins sont âme et sa bonté.
Parfois elle se contredisait ses yeux alors s'en excusaient.
N'y a t-il pas d'avenir que l'on puisse y réfléchir?
Etourdie pour avoir trop pensé.
Puis elle se mit de sa haute voix à entonner.
Alors ses cheveux s'étiraient.
De plus belle ses yeux pleuraient.
Mais cette question adressée à divinité rougissait ses lèvres.
Emportait si haut sa beauté à une réflexion brève.
Que cette femme alongée s'enlaidissait.
Que sa destinée s'impatientait.
Et que sa tristesse ne s'arrangeait.
Naiveté, beauté bien beau à observer.
Mais ceci ne fait pas la vie celle que l'on attendait.
C'est bien singulier, traiter de l'absurdité.
La vie n'est pas jouée.
C'est un jeux dont la partie n'est pas encore terminée.
Tant que les arbitres n'ont pas sifflés.
Amitiés julia.
Je pense que ça traduit le contentement d'avoir achevé mon poème. 
