Péripatétisme et je parle en marchant,
Aristote m´a dit : „ils ont besoin de toi“ !
Ai-je bien entendu ? Ne suis-je que marchand ?
Ont-ils besoin de moi ou leur faut-il un toit ?

Ah ! Maître Socrate, Point ne m´avez-vous dit
La chaume et le logis pour ces âmes fières
Qui grelottent dehors et ne sont que non -dit
Quand par la faim, la foi, grincent leurs prières.

Et Sophocle nous met au vouloir de ces dieux
Qui font naître héros d´une tragédie
Mais les hommes tremblent, les yeux levés aux cieux,
Il nous reste les pleurs , humaine comédie !

Et toujours ce soleil qui réconcilie
L´homme et son désarroi quand parait cet espoir
En leurs si vrais regards, face à ma folie
De parfois ne faire mais toujours tant vouloir.

Je ne suis poête et ni philosophe,
Apprenti d´un amour que je ne prétends
Mais un regard aimant, vrai, qui m´apostrophe
M´aura fait, de toujours, combattre mauvais temps.

Penseurs, dramaturges, fuyons la querelle
Et l´idée du vrai, l´instant est à vouer
A l´écoute d´enfant, heureux qui appelle,
Loin de toute guerre, et qui voudrait jouer.

Tadamadon

très boooooooooooooo bravo

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vitta
danseuse
la poèsie avec ma plume je caresse le monde

douce vitta
http://admin.centerblog.net/compte/lo...

O Sire puissent-ils voeux être enfin exaucés
Enfants clairs et métis en mille rues sourire
Et fontaines couler de sagesse enfantée
Des penseurs d'agoras nous demeurent les rires...

Sister Antigone for ever.

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"Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue:
Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue.
Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler:
Je sentis tout mon corps et transir et brûler."

Racine, "Phèdre"...

J'ai beaucoup aimé le contenu de ce poème et surtout la manière dont il est écrit:Vraiment Kendor,j'aimerais exceller en écriture comme cela!!

Un sublime poème cher Kendor!

Katel

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tatsy

"D'une joie même, le souvenir a son amertume, et le rappel d'un plaisir n'est jamais sans douleur" Oscar Wilde

http://tatsy-entre...

Salut frangin kendor
Souffle cet air frère poète!Que l'amour du poète soit sa voix et suive sa voie de rêve!Que des références philosophiques!J'ajouterai une référence linguistique,Ferdinand de Saussure qui n'a de chaussures pour les va-nu-pieds en sa science!
Merci
Merci
Merci
Maman te salue comme d'hab.
Fraternité éternelle
Farid ton frère

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"Je n'existe que dans la mesure où j'existe pour autrui"
Manet




Mon blog : http://amedyazamazigh.blog2b.net

Jésus à dit "laissez venir à moi les petits enfants". ton poème est magnifique !

ultime solitude

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"sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloges flatteurs".

une très belle lecture , merci pour tes jolis mots

La philosophie est éternelle et les grands philosophes sont toujours dans l'air du temps lorsqu'on sait les interpréter comme tu le fais si bien.
HONORE

Bonjour Kendor, quels beaux vers et les images qui en découlent sont très belles....Okana tendresse...xx

Et toujours ce soleil qui réconcilie
L´homme et son désarroi quand parait cet espoir
En leurs si vrais regards, face à ma folie
De parfois ne faire mais toujours tant vouloir.

Je ne suis poête et ni philosophe,
Apprenti d´un amour que je ne prétends
Mais un regard aimant, vrai, qui m´apostrophe
M´aura fait, de toujours, combattre mauvais temps.

Penseurs, dramaturges, fuyons la querelle
Et l´idée du vrai, l´instant est à vouer
A l´écoute d´enfant, heureux qui appelle,
Loin de toute guerre, et qui voudrait jouer.

Tadamadon

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La douleur est comme un arbre tordu par les morsures des grands froids d'hiver...


Citation de Nicole Chaput

merci mon ami Kendor pour ton joli et beau poème
c est très touchant !!!

Et puisque tu aimes Socrate:

"«Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien.»

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Il n'y a pas de chemin qui mène au bonheur....
....le bonheur est le chemin.

bonsoir mon ami

moi qui sais que je ne sais pas....

foi de gavroche je demeure un peu abasourdi

devant cette virtuosité à jouer avec ton âme d'enfant...

Amicalement....Gavroche...

Coucou Michel

Je sais pas ou tu es ?ce que tu fais ?
Mais ,je sais qu'on à perdu un grand poète
Et on en perd encore ,où êtes vous
Mes amis (es)

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Un Marcheur passait par là et a tout lu ,a tout pensé de tes mots déposés là comme
des briques bien assorties....

Je m'en vais pensant avec plaisir...

Le Marcheur