Pleurez ! Pleurez ! Pleurez à chaudes larmes !
Implorez le vent de sécher vos visages allongés !
Vos lamentations déclenchent toutes les alarmes
Mais, personne ne semble être dérangé.

Vos espoirs se noient dans l’horizon lointain,
Vos esprits se perdent dans l’espace infinie,
Le temps dissimule bien votre étoile du matin
En donnant la preuve de votre mythomanie.

Vos misères se soulagent sans sacrifices à Dieu,
Si vous percevraient la faiblesse des esprits,
Qui incite la honte à vous tenir silencieux
Sous l’ombre épouvantable de l’éternel mépris.

Votre naïveté ne vous mène à rien !
N’importe où, vous trouverez vos repères
Sous un ciel restant clément à tous les terriens
Sans distinction, le bien n’a pas des frontières.

Dad Allaoua

Moi je suis naïve car j'espère encore que vous commentiez les autres en déposant vos écrits ici,la poésie est aussi un partage.
Désolée mais je me suis retenue depuis très très longtemps.

Bleuet

Bonsoir DadAllaoua;
Un cri ou une prière?
Bel écrit.

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Amicalement.
Gérard.

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Rêver au-dessus des nuages,

Merci Garard pour ta lecture, pour ton commentaire et pour tes encouragements
Bonne soirée
Amitiés
Allaoua