« Telle était son apparence ; le soleil, son esprit »
( « Le Cycle De Rowley » de Thomas Chatterton).


Ce ne sont que des gris nuancés en damier
Fréquencés dans la forme qui fait crisser les sols
Quand parfois se mouvant et vibrant comme l’acier
Qui me viennent perturber si je prends mon envol.

J’en perçois l’unité mais trop souvent le nombre
D’où surgissent clameurs et espaces déformés
Creuse les lignes de force et colore les sombres
Quand mes ailes en effort peinent à se refermer.

Alors d’un battement m’élevant en hauteur
Je fuis en piaillant loin des humaines ombres
Dont je ne perçois plus la couleur sans ferveur.

Bonjour Claude, un joli poème pour une agréable lecture.
Mon amitié.

Capricorne

un regard d'oiseau qui a pu constater la valeur de l'humain , il n'a rien a nous envier

L'ame de l'animal
Se révèle
Et s'eleve
Sans regret
Au dessus de l'homme.
Merci.

j'aime ce regard pas si volatile

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