Après le crochet des blanches
Dans l'obscurité d'une note noire
Le piano se fait cercueil en planche
Des mélodies oubliées et illusoires
L'orchestre est un autre aphone
Où le tempo n'a plus de cadence
L'air se défenestre et abandonne
Les mots à travers un vrai silence
Les rythmes sont sous-bassements
Dans le coeur en forêt de percussion
Vide sans sons et sans son sentiment
Le couplet un refrain une non permission
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