Avant le déluge en qui devient insondable
Pour l’aliénation d’où en surgit l’ineffable
Il n’y a pas d’autres auspices que l’amour
Où il faut générer le dernier calembour
En foi avec un coeur qui souffre et immuable.
Car il n’y a d’autres endroits que le sublime
Où le ciel regorge de l’esprit unanime
Où le ciel est béant et attend un orgueil
Non il n’y aura pas de funeste cercueil
Sinon celui des vies qui rejette l’abyme.
Moi, j’ai soif de douleur quand elle nourrit mon verbe
Comme Ă sa passion oĂą JĂ©sus devient imberbe
En secours des vertus en un jour si repu
Qu’il n’y a plus que le silence d’inconnu
Où la fauche y envoie une dernière gerbe.
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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer
http://www.edilivre.com/le-repit-du-silence-23115d53b9.html
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