"Avec l’alouette III le problème du treuillage était résolu, le treuil était commandé par les gaz de la turbine. Mais tout n’étai pas toujours facile. Ainsi un jour où je remontais vers l’hélicoptère en même temps que le mort que nous avions récupéré, nous étions attachés avec deux cables; nous nous sommes mis à tourner dans une valse macabre, j’ai eu la peur de ma vie, car le pilote peut à tout moment pour préserver l’intégrité de l’appareil, appuyer sur un bouton rouge et larguer le cable. "
Pierre-Louis SESTIER
----------------