Les souffles d’amour s’enfuient par-delà les inespérances
Les creux de l’âme au fond des vertiges
Toujours sans fin tombent et s’abîment

Les souffre-douleurs s’ennuient au-delà des inexistences
Lépreux de l’âme, hauts fonds des litiges
Toujours sont feints tombes et centimes

S’essoufflent couleurs, sans bruit, au-delà des impersistances
Les preux de l’âme au fond des vestiges
Toujours ont faim d’ondes et d’estime

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Christophe

J'ai apprécié l'angle choisi, à ta lecture j'ai eu l'impression que tu parlais des larves astrales qui se créent par la pensée, une manipulation coupable de l'éther ou une âme n'ayant pas atteint la réincarnation. Est cela?
Très fort en vibration
Amitiés
Provencao

Une écriture qui tinte en de subtils échos.
Bravo!

les maux , souffrances
de l'âme en errance

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Comme un souffle qui court entre espoir et désespoir ...

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mes amitiés, Halcyon

Merci à vous et toutes mes amitiés.
Il s'agit des doutes et maux intérieurs, ces petites souffrances, qui parfois nous font regarder avec plus de distance le quotidien et même la destinée et à les trouver vains
Une forme de mal être
Amitiés

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Christophe

bONJOUR
Quand les lépreux et les preux sont rassemblés dans le mm texte,
on sait que c'est une fêlure de l’âme, tout est peine comme le prouve
le riche lexique employé

de l'insatisfaction

Preux remerciements à mohaghane et aux autres
Amitiés

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Christophe

Mon régal du jour!!! je parle en lecteur assidu...
En essayiste amateur, une belle voie poétique que tu pratiques...En tous cas, elle te réussit.
Au-delà de la puissance des mots et du jeu de mots en débuts et fins de vers, au delà du sens que tu donnes à tes maux (du gris au noir)...
Il y a ces extrêmes que touche ta plume avec succès et qu'elle semble privilégier, des extrêmes aux limites encore floues, comme des constellations imaginées et cette exigence d'estime comme le pionnier qui doit laisser sa marque, son drapeau planté là où il peut s'aventurer, en un besoin d'être avant et après tout...
Je divague surement un peu, juste un peu

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Prière ne pas remonter mes anciens textes, merci
Le tagastin: quand on vit d'amour et de vers, il faut assumer ses coliques!

candidao merci. Ce commentaire est à la fois beau et touchant. Peut-être aussi des sensibilités et une inspiration qui nous rapprochent
Divaguons donc ami

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Christophe