La solitude, tu es tellement rigide,
Est je t’aime
Chaque soir, qu’il soit souple à l'humide,
Je te chante mes poèmes,
Et dire à l’histoire de mes printemps,
Ce qui est Ă CĂ©sar, reviendra un certain temps,
Il ne faut pas agir contre vents et marées,
Quand le bateau a besoin de s’amarrer,
Pourquoi je vois la vie morose,
Et pourtant il y a le printemps et la rose,
Pourquoi j’ai passé flou mon enfance,
Qui était derrière mes souffrances ?
La politique de mon cher pays, et ses discours,
Ou la défaillance de l’orphelin,
Ni père ni mère ni câlin,
Ou le guide qui a disparu du parcours,
Et toi qui vends les fleurs,
Donne moi la meilleure,
Ce n’est pas pour mon avenir,
Mais pour toutes les circonstances, du beau souvenir,
J’ai connu l’injustice et la souffrance,
J’étais élevé dans la souffrance,
Et les peines et les douleurs et le besoin d’argent,
J’ai partagé le froid et la faim, et les moments urgents,
Étant orphelin, élevé par ma mère,
Dans mes yeux il y a toujours l’amer,
Mais élevé dans la moralité,
J’ai respecté autrui avec humilité
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les années de disette dictent les poètes