Une promenade tout le long de ton corps,
A la découverte de « dame nature ».
J’imagine que je suis à ton bord,
Mon voyage commence au bord de ta figure.
Deux beaux grands lacs, d’un bleu gris,
D’où coule une eau douce et salée.
Mon dieu, que tes yeux sont jolis.
Et comme j’aimerais y nager.
Je marche sur le contour de ton visage,
Comme il est lisse et bien dessiné.
Mais il faut que je continue mon voyage,
Vers ton corps je vais me diriger.
Une courte descente accrochée à tes lèvres.
Elles sont d’un rouge vif et sensuel,
Un baiser de toi pourra me donner la fièvre,
Je suis sûr qu’elles ont un goût de miel,
Arrivé en bas je découvre une plaine.
Deux monts sont l’un à coté de l’autre,
Je les gravis très vite et sans peine,
Il faut dire qu’ils ne sont pas très hauts.
Du haut de tes seins j’aperçois au loin.
Se dessine à l’horizon un étrange triangle,
Parcourant les plaines le long de tes reins,
Profitant du parcours, n’oubliant aucuns angles,
Fatigué j’arrive enfin, je vais pouvoir me reposer,
Passé la nuit à la lisière de ce bois,
Car demain seulement j’irai explorer;
Et plus d’un jour il me faudra, je crois.
Après une douce nuit, je continue mon chemin,
Je traverse une forêt fine bien coupée,
Je suis attiré par un doux et étrange parfum,
Envoûté, je me sens comme transporté.
Doucement je descends le long de tes cuisses,
Pour continuer le long de tes jambes le chemin,
Comme ce long voyage fût un vrai délice,
Je recommencerai encore sûrement demain.
Elie