le chemin
me paraissait interminable,
extravagant
fatigant
et le sable
me semblait sans fin.

je ne croyais plus aux étoiles.
il est vrai que depuis fort longtemps
l'effroi de la nuit
et de son fruit
ne m'autorisaient aucun contre-temps
pour admirer, des peintres, leurs belles toiles.

le soir,
enfin,
allait-il m'offrir une nouvelle magie,
l'apologie
d'un espoir, datant de mon enfance, sans fin ?
je priais avec espoir.

mon impression fut des plus innommables,
le firmament des plus impressionnables.
je fus comme un gamin
retrouvant son chemin,
je m'envolais dans cet état nocturne
et je trouvais là, heureux, la merveilleuse fortune...

lendarque.

On lit ce texte avec curiosité, et on suit le chemin de l'émerveillement ...

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Poète, peintre des étoiles,
Tu hisses la grande voile,
Au grés de tes rêves éveillés,
Douce et tendre félicité.

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voilà un style moins habituel, mais séduisant, qui me plait beaucoup personnellement.

tu sais nous conduire dans le mystère...

de la poésie non classique, mais qui apporte au site par son originalité et sa nouveauté..

J'aime.

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Science sans conscience n'est que ruine de l'âme (Rabelais)

voila un chemin que j'aimerais parcourir et surtout ouvrir assez mon coeur pour apprécier l'ultime
bises
Annie

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