Ce que le temps n’a pas altéré de l’enfance
Le sport l’a ennobli l’entrain de la jeunesse
De la vitalité de fauve à l’abondante crinière
Il protège l’haleine la souplesse dans les gestes
Mais dompte l’agressivité la démesure
L’ambition liée au gain amène des blessures

Alain
www.mespoemes.net/recreation

un poème avec lequel je suis totalement en accord, il n'a nul besoin de plus de mots pour dire le bon et le pire du sport
bravo
bises
Annie

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Merci Annie

Biz

Alain