Aimer, je ne sais plus à quel temps le conjuguer,
Ni pour qui, ni pourquoi, ni comment le former,
L’amour passe et trépasse sans m’en apercevoir,
Je reprends mes esprits mais il n’y plus rien à voir.
Ca défile devant moi s’en jamais s’arrêter,
Tout va trop vite, je n’arrive pas à en attraper,
Tout se multiplie, j’en ai un mal au crâne,
Vite vite qu’on m’apporte un doliprane !
Tout ces gars devant moi j’n’arrive pas à y croire,
Et puis zut allez, vite, apportez-moi le bavoir,
Ah mais qu’est-ce qu'ils sont beaux ces français,
Rooo et puis mince je commence à fantasmer !
Arrêtez, arrêtez, je commence à être tentée,
Oh siouplaît je ne veux pas faire pêcher,
La gourmandise est ,bien sur, un vilain défaut,
Ah lalala mais qu’est- qu’ils sont beaux !!!
Je commence à fondre tel un gros chamallow,
Je m’enfonce sous l’envie de ces ados,
C’est sur que ce n’est pas vraiment moi,
Mais que faire devant tous ces beaux gars !
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