Apocalypse


Les vaques déferlaient
Sur la plage déserte
Le ciel était violet
De nuages inertes


Venant de l’horizon
Des grondements, soudain !
Défiaient la raison
Surgissant des lointains


Tel un dragon des mers
La bête aux yeux de flamme
S’érigea des flots verts
Sans aucun état d’âme


Tel un grand tsunami
Il engloutit la terre
Le monde, suivant la prophétie,
Devint néant vers le mystère


Il ne resta plus rien
Sur tout le continent
Pas un humain, pas un saurien
La fin de tout commencement …


Provence

Une lecture grandiose qui finit en un effrayant silence.

Une fin apocalyptique en effet, mais alors..... Qui a écrit ce poème ?

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Christian RAY avec Michel Drucker et Patrice Laffont

mieux vaut ne pas y assister, cela semble terrifiant, merci de ce partage émouvant,


yann

Merci pour ce beau partage.
Amitiés
Provencao

brrr cela fait peur

j'aime ta plume, même si terrifiante elle est,
texte puissant qui heurte l'esprit.
celtic

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La guerre
Massacre de gens qui ne se connaissent pas,
Au profit de Gens qui se connaissent mais eux
ne se massacrent pas.

Ambrose bierce

Bonjour Provence voila une extraordinaire façon de fêter le Saint Jean.
Mes bisous.

Capricorne

Merci Soliane pour ton commentaire, Chris-ray (c'est moi, la rescapée qui ai écrit ce poème !!!!!!) Islander, Provencao, Félinelove, Celtic et Capricorne pour votre partage

Bisous
Provence