(dédié au Pape JEAN-PAUL II et au chanteur PIERRE BACHELET -qu’il a si bien chanté-, pour dire son admiration dans « l’homme en blanc »)
L’HOMME EN BLANC, JEAN-PAUL II
a rejoint PIERRE BACHELET,
qu’il a si bien chanté.
Ils ont quitté la piste,
mais non, N’AYEZ PAS PEUR,
C’EST SUR, ILS SONT AILLEURS :
et voilĂ les deux Pierre(s) ,
unissant leur prière,
chacun à leur façon,
quelque part dans le ciel :
JEAN-PAUL II les mains jointes,
PIERRE ouvrant ses grands bras
tel un MARIONNETTISTE.
Oiseaux au paradis,
ils se sont envolés,
COUP DE TONNERRE, DE GRISOU,
ils se sont retrouvés
partis tutoyer Dieu.
Peut ĂŞtre que de lĂ -haut,
ils chantent et prient pour nous
en associant leurs mots,
près du Père Eternel.
On peut dire en somme
qu’ils ont construits des ponts
pour Ă©lever les hommes,
ont laissé leur empreinte :
un saint pour notre temps
l’autre avec ses chansons ;
même s’ils sont partis,
on n’oublie pas leur voix.
Danièle
(28 janvier 2006)
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