Politiquitude

Ce n’est pas un secret les femmes sont diverses
Mais elles ont en commun l’immense qualité
D’être source d’amour et de félicité ;
Exceptionnellement certaines sont perverses

Incomparable atout acquis à la naissance
Elles ont par la nature une distinction
Cette féminité cette séduction
Et de l’humanité la clé de la croissance

Ne croyez pas de sots la triste baliverne
Avoir des différences ne se gommera pas
Être complémentaire toujours existera
Seule la génétique organise et gouverne

De rites séculaires saper les fondements
Est un jeu et personne avoue ses conséquences
La civilisation ne peut d’extravagances
Nier ce que nous somme biologiquement.

Ceux qui passivement renient les traditions
Crachent sur leurs ancêtres et des siècles d’histoire
Ils auront à porter du futur les déboires
Seules les différences sont racines d’union.

Il est des libertés que la nature encadre
Le puissant provisoire prétend chambouler tout
Et sur les vraies questions, se trouvant un peu mou
Incapable de peindre il bricole le cadre

Mais revenons aux dames ; certaines politiques
Aux rouages d’état voudraient prendre des places
Sont elles des bienfaits sont elles des menaces
Pour les choisir il faut un esprit stratégique

Une femme d’état peut être sans pareille
Une autre ambitieuse autant que déloyale
Ne pourra apporter que sottise royale
Tout le monde n’a pas l’aptitude qui veille.

Mais non je ne vends rien je veux que simplement
Après avoir reçu les fatras médiatiques
On se pose un moment les questions véridiques
Avant de regretter des choix inconséquents.


Néo-Olucinep XXII 10 MMXII

Pour entrer dans la nasse
Il y a un calibreur
Qui ne retient que crabes et requins
Peu en importe le sexe
Pourvu qu'on donne bonne impression.

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Bonjour,

Un bel hommage fait aux femmes et un constat très réaliste.
Il n'y a rien à ajouter

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Amitiés,
Maria

On ne recommence plus, mais se souvenir c'est presque recommencer. Charles Nodier

Merci à tous lecteurs et commentateurs

CORDIALEMENT

Pour compléter Corneille

" le temps est un grand maître le malheur est qu'il tue ses éleves!" (serait de Berlioz?)