Je ne sacrifie plus à tes messes païennes
Où le Diable exalté pour vaincre ses démons...
Fait parler dans la nef la poudre, le canon
Et tirer le boulet des forçats de Cayenne...

Je n'ose plus risquer la rime avec je t'aime
Ni poser à tes pieds mon coeur sur un coussin
De peur que ton vautour le bien-nommé "Toussaint"
Ne vienne de son bec l'orner d'un chrysanthème

Il est banni ce temps où ma bouche friande
De baisers s'attardait sur le tien de "Psyché"
Tes lèvres désormais m'écoeurent d'une viande
Qui n'ose plus de chair commettre le péché

Tu as tout saccagé dans mon champ de verdure
Le Lys et le jasmin la rose et le lilas
Pareille à la jument qui portait "Attila"
Afin que notre amour à jamais ne perdure.

bonjour zutalor, l'amour laisse parfois de grandes blessures, ce poeme de belle texture en convient et laisse le lecteur admiratif quant à sa qualité,

bravo


yann

oui l'amour parfois fait mal très mal j'en sais quelque chose

Oh la chamelle
Comme elle est belle
Comme tu l'aimes
Et comme tu l'aimeras toujours
Mais à coté d'elle
Il y a cette autre
Qui t'attend
Peut être encore plus fort
Pour te sortir du désert
Amitiés.

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Amicalement Alanna

complexe composition à laquelle je ne comprends certainement pas tout mais qui me fait réflechir aux souffrances que les realtions d'amour peuvent engendrer...amicalement

Bravo

Je trouve ton texte très fort, beau et intéressant
Et oui le tout a la fois

Mais je ne partage pas le fond :

J'ai croisé un jour dans un champ de vautours
Depuis je vis chez les chatons

Aucun vautour ne vaut que l'on se prive de chatons

Alors une chamelle :)

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