Il plane l’oiseau du crime
Dans la nuit noire des cimes
Ou le fracas de l’orage
Rythme d’austères virages.
Le vent souffle sur les monts,
Et les sapins du démon
Et la bruyère des pentes
Qui frémissent en son attente,
Quand passe l’ombre mouvante,
Se raidissent d’épouvante.
Un petit lapin bien seul
Voit le destin qu’il assume
Et il salue son linceul
D’une larme dans la brume.

Bonsoir Nicolas !

Malgré le triste destin de ce pauvre petit lapin, j'ai aimé tes vers et tes rimes.

Mes Amitiés
Napola

Très joli poème... Pauvre petit lapin ! Mais dame nature est parfois cruelle...

----------------
Désolée, mon état de santé ne me permet plus de faire les mises en pages de recueils.

quelque mots bien ciselés, par la pensée concrétises, sous couvert de l'insparation; plus le sinistre et l'émotion ficelés en rimes l'adoucissant ; décrirent d'un petit lapin ; le triste sort l'attendant. Guygh

Bonjour Nicolas une bien triste fin pour un petit lapin.
Mon amitié.

Capricorne

La faim justifie le lapin.

J'ai mis une version "anglaise" dans "écrits en langues étrangères"...

ùn tableaù magnifiqùe, la natùre est aùssi crùelle sans être méchante, merci de ce délicieùx échange,

yann

De bien jolis mots, pour une triste fin, la nature a ses lois, c'est ainsi.

Belle lecture.

Franie

un bien triste destin