Une page se tourne au détour
D’une centaine d’individus qui
Du haut de leur tour
Ont sous-estimés mon parcours
Alors je cours loin des vautours…
Pas tous… Quelques Amours qui vous dérangent,
Des amours qui changent le court du temps
Un Amour vile par son aveuglement
Des beuglements oniriques incessants entremêlés de tiraillements,
Qui vous avilissent tout vos désirs
Pas étonnant que les biens pensant médisent.
Vaillant ?! Beau ?! Laissez-moi écrire ces soupires…
----------------