[img]
Uploaded with ImageShack.us[/img]


Je traine, sublime comme un manteau de nuit,
Tous les espoirs du monde accrochés à mes basques,
Et je m’en vais marchant seule comme un oubli.

Sur la piste du temps j’ai collé mes regrets
Pour que jamais l’histoire encor’ ne se répète
Et dans un cul de sac j’ai posé mes paquets .

Et j’accroche à mon cou mon collier de déboires
Les breloques des jours que j’ai laissé s’enfuir
Hésitant bien souvent à en faire une histoire

Dans le jeu de la vie n’ayant aucune piste
Je ne pouvais compter que sur ma destinée
Car je ne suis qu'un clown, pas tout à fait artiste.

Je ne suis rien, ou tout! Je suis un fourre-tout,
Une voie sans issue, un nez rouge qui rit,
Je deviendrai l'Auguste si je jouais pour vous!

nostalgie tournée en amère dérision, c'est très beau !

Je traine, sublime comme un manteau de nuit,

une rime avec la photo offrant un tout magique et rare

----------------

ton violon artiste joue une bien nostalgique romance qui me touche
poétiquement

Je suis en admiration car c'est tout simplement très beau;
HONORE

Un mystère quasi ésotérique plane, enténébré par le soleil de ton verbe...Amitiés? Je t'embrasse

Merci amis lecteurs... vous qui rendez possible ces échanges

Montézuma Ce que j'adore chez toi indépendamment de tes commentaires ce sont justement tes commentaires ton divan est "moelleux" au possible
Pampille