Il comptait sur ma présence
Pour lui j’avais toujours été là
Il me confiait son adolexcence
Comme moi, il avait des haut et des bas

Ce jour là j’étais dans un haut
Lui, seul, était dans un bas
Il voulait ma parler de ses maux
J’étais occupé, je ne l’écoutais pas

Il m’a menacé de sa propre mort
Au lieu de lui tendre la main
Du bout des doigts, je lui ai montrer une corde
Il est alors partis pleurer son chagrin

Il était interne et chaque matin,
Je venais le chercher
Dans sa chambre de larbin
C’est comme ca qu’il la nomait

La porte était ouverte
Et lorsque je l’ai poussée
Je l’ai vu flotter à 50 centimètres
Pendu à la corde que je lui avait montré.

Il est beau de pleurer ses erreur
Mais c’est avant qu’il faut reflechir
Etre a l’ecoute de ses amis, de leurs cœurs
Pour les consoler et les aider à s’en sortir.