MALDONNE

Mon amour et son amour
Riment avec toujours
Jamais seul dans mon lit
Je dors à l’ombre d’elle
Ca n’est pas un délit
A peine une larme
Perle d’un de ses yeux
Je hurle sur l’infâme
Qui a déçu ses vœux
Et écorché son âme
Un sourire d’icelle
Naît une ritournelle
Ma tête un leitmotiv
Si ses yeux sont pensifs
Voguent sur lacs lointains
Je largue sur l’esquif
Voiles du vent des rêves
Qui font les lendemains
Apaisé et sereins
Est-elle alanguie
Et me voilà poète
En quête de quatrains
Bientôt la muse chante
C’est une symphonie
La savoir courtisée
Me remplit de fierté
Et je mets sous ses pas
Des pétales de roses
Son regard me ravit
Il transperce ma peau
La prison de ses charmes
Pour moi est un château

La seule ombre au tableau
Qui frise l’anathème
Ce n’est pas moi qu’elle aime

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joli texte ,la fin est juste triste
mes amitiés
yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

dommage de s'être "creusé" la tête aussi joliment pour une belle qui se fait la belle
amitiés Parceval
pampille

Joliment tourné, sur un amour non partagé, Ah l'amour que c'est compliqué parfois !

Franie

pas facile l'amour a sens unique

Que serait le poète
Sans un peu de mal-être
Je peux vous rassurer
Tout ça c'est du passé
En plus imaginé.....

Bien amicalement

Parceval

"La seule ombre au tableau
Qui frise l’anathème
Ce n’est pas moi qu’elle aime"

une fin tragique pour un "roman" si tendre ... très belle éloge à la femme convoitée !!
bravo

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Marie