Le temps laid a déposé une grosse bombe
Dans la cour sinistre de ces arrogants rois ,
Et je ris à les voir peinés comme ils tombent,
A les voir toisés par un cruel désarroi.
C'est ces gens-là que Dieu avaient élus et
Qui en quelques jours comme ce DIEU se croyaient;
Ceux qui,rustres,les autres indument giflaient,
Et les voilà alors qui périssent noyés,
Submergés par la hardiesse,une honte
Car ivres sous un pouvoir qui n'a été leur,
Ils omirent que tout finit et se raconte.
ET là, que choir comme César ils n'ont pire heure.

A qui le pouvoir rend aveugle ou arrogant,
Est voué un cauchemar,une belle chute
Car qui l'abattra il ne verra l'ouragan,
Qu'il soit alors sorcier ou un "champion de lutte".

Bon... j'exprime une pensée peut-être complètement hors sujet, mais ton poème me fait incroyablement penser à une réplique de La Fayette, dans les Aristochats de Disney, qui, après une vaine poursuite, s'adresse à son compagnon en ces termes: "C'est la guerre, Napoléon, on ne peut pas toujours gagner".
Cette réplique, qui m'a toujours fait rire, renvoie évidemment à la situation historique, et donc au contenu de tes vers: à savoir la chute des grands rois qui abusent de leur pouvoir.

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"Je est un autre."
Arthur Rimbaud

je crois qu'Euterpe a parfaitement résumé le sens de ton poème;
HONORE

beau poeme avec un engagement sans égal ....et bonne entrée dans le site

Pas mal du tout!