Du plus loin qu'il m'en souvienne
Une présence c'est fait sentir
Inconsciemment tel un soupir
Partie de ma vie quotidienne

Sans du doigt pouvoir le pointer
Il me suit encore aujourd'hui
M'accompagnant dans les conduits
De mes chemins et mes années

Dans chacun des choix que j'ai fais
J'ai toujours perçu sa constance
Premier exemple après l'enfance
Quand douce France je quittais

Dans mes rencontres et mes conquêtes
Qui écarter, qui préserver
Sans semonce il m'orientait
A qui diriger mes requêtes

Parfois il soufflait violemment
Faisant mon sang dés fois bouillir
A temps respectant mes désirs
A d'autre les contrevenant

N'ayant eu jamais de regret
Toujours devant moi regardant
Sans cesse en me conseillant
Les directions que je prenais

J'ai essayer de définir
S'il était mon âme ma confiance
Mais ces deux mots n'ont pas le sens
Pour l'expliquer et le décrire

Plus je vieilli et plus je pense
Lui trouver un nom, un cliché
Avec lequel le présenter
N'a vraiment pas grande importance

Le point crucial enfin je crois
N'est ni comment et ni pourquoi
Mais uniquement le résultat
Ce VENT qui à toi m'amena.

Bonjour Franco

ce matin j'ai eu vent d'un beau poème alors je suis venu y déposer mon bon commentaire.

Amitiés

Christian

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Bonjour Franco un joli et puissant vent qui ressemble au destin.
J'ai beaucoup aimé suivre ta jolie plume.
Mon amitié.

Capricorne

Ce vent qui t'amena vers elle t'a inspiré un magnifique poème !

Les traces du vents pour les traces du destin...

ça peut être le destin, un sixième sens, ou un ange-gardien, j'ai beaucoup aimé !

Merci à tous et bon vent...en poupe, en prose et surtout en vers
franco