La tempête
Quand les flots déchainés écumaient sous l’orage
De ses vagues la mer, valdinguait les esquifs
Les submergeaient et les cognaient sur les récifs
Noir était le ciel, l’autan soufflait sa rage

La tempête forcit et le bel équipage
Jeta l’ancre face aux éléments destructifs
Abandonnant les nefs en ces vents agressifs
Les vaisseaux coulèrent devant l’aréopage

La mer était sournoise et reprenait ses droits
Pourtant, ils étaient marins aguerris, adroits
Mais ils ne pouvaient lutter contre sa colère

Dame versatile déchirait les bateaux
Elle était si orgueilleuse et tellement fière
De transmuer belle flotte en tristes radeaux !
Lucienne le 07.02.2013

Bien définie cette tempête qui en un sonnet parfait
nous fa&it passer par les affres du passé...
amicalement

Merci beaucoup de ces mots sur les miens : je les prends volontiers comme compliements !
Je vous souhaite une excellente soirée
Letram

Bonjour 13letram11

Un magnifique sonnet aux vers délicats!!
J'ai aimé ta façon d'écrire et de nous faire partager cet écrit!!
Merci à toi...

Bonne journée

Amitiés

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Bonjour Lucienne un déchaînement de la mer décrit d'une fort belle façon.
J'ai aimé ne pas être sur le radeau.
Mes bisous.

Capricorne

Eh Bien ! quand je pense à mon 'coup de vent', je la trouve fort terrible cette tempète et contée avec force rage ..mais joliement !!

Merci Salima d'être passée en coup de vent sur mon écrit et de ce beau message !
Excellente journée
Amicalement
Letram

sur la mer déchaînée ... la plume s'est posée ...

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

un temps à laisser les bateaux au port