Plume de satin Inscrit le: 11/4/2012 De: Envois: 37 |
Le matin chez la Fermière Quand je n’étais qu’un bambin, J’avais l’âme buissonnière, J’allais promener, matin, Mon chien-loup chez la fermière, Une blonde à l’air coquin Qu’avait le feu au derrière.
Ha bon Dieu qu’on était bien Le matin chez la fermière. Ha bon Dieu qu’ils s’aimaient bien Mon chien-loup et la fermière.
Le fermier qu’était malin, Revint un jour par derrière, Et me surprit bien en train, De besogner sa bergère. Je me cachai dans le foin Y restai la nuit entière, Ha bon Dieu qu’on était bien Le matin chez la fermière. Ha bon Dieu qu’ils s’aimaient bien Mon chien-loup et la fermière.
Depuis j’ai perdu mon chien, Il est mort l’année dernière, Moi j’ai un rhume des foins Qui de façon régulière Me rappelle les matins Qu’on passait chez la fermière.
Ha bon Dieu qu’on était bien Le matin chez la fermière. Ha bon Dieu qu’ils s’aimaient bien Mon chien-loup et la fermière.
Foyalais !!
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