passer "des nuits de mai" déconnectés à la réalité de décennies de vie du quotidien,quel salutaire réveil .

on cherche longtemps dans les livres, celui dont on souhaiterait devenir l'auteur.

au-delà des guerres et de l'échec de Copenhagen,à quand nos noces lumière avec nous mêmes.

sic fluctuat,"mec"mergitur, alea jacta est ; des maux ......des mots,moins que rien .

à l'instar de Mithridate,cessons de nous empoisonner l'existence,sous prétexte d'immunité divine.

"je pense donc j'essuie",surtout ne pas se mouiller, semblait être le mot d'ordre le plus courant.

quelle alchimie délirante a pu ainsi transmuter des différences vivifiantes en oppositions stériles sinon l'ignorance reconduite et amplifiée sectairement.

n'ayons pas peur de mourir,ce n'est qu'un mauvais moment à passer,à trépasser.........enfin....passons,c'est hors sujet.

il nous faut "granberger" l'existence en paisibles moutons "dépanurgés".

nous relevons de grande convivialité cellulaire,largement au-delà des "cagoulaks" de dédomicilation religieuse et d'excès politiques.

les politiques ont tous inventé la poudre,il ne nous reste que l'escampette comme ultime thérapie.

ne pas confondre besoins à épanouir avec désirs à implanter.

en fin de compte,qui d'autre que nos cellules peuvent réparer nos cellules ?





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