A la tombée de la nuit, aux bruits secs des arbres,
Qu'apporte le temps, sifflait l'oiseau, c'était marrant.
Venait mon tour, moi je disais tout tristement:
Où va le temps? Ce temps qui blanchira ma barbe.
J'ai construi mon ouvrage, quelle main le tiendra?
Vais-je pleurer encore même après ma mort?
Aura t-il quelqu'un qui brûlera mes efforts?
A mon temps sacrifié, est-ce que l'on pensera?
Oui, par mon publique, le passé m'a fait jugé,
Mais le présent m'exhorte encore. Oh mystère! Oh grâce!
Je lève mes yeux vers le futur,que tu fasses
Grâce, à mon temps. Que ta force me soit donnée.
La nuit m'a bien dit qu'un jour la vie doit être triste,
Pourtant souvent on l’attend pour jouir des moments
De plaisirs en cachette sous vent confident,
Ou pour soulager le corps par repos de Christ.