De la fragrance qui m’inspire
J’ai fait l’encre de ma passion.
Par le cri qui m’annonce le pire
Mes larmes furent la solution.
D’une image étourdissant l’âme,
Je lui dessine l’amour en papier.
Créant ces voluptés sans drame
J’enroule la lettre sur le damier.
De cet appétit qui se pose enlacé,
La prose sème ce plaisir d’aimer.
Vicissitude du mot non prononcé
Dans l’étouffé de la vie si brimée.
Moi le doux rêveur en fait l’écrit
Qui volent vers les cieux cléments.
Pour y trouver l’illusion d’un cri.
En plainte de cet infidèle serment.
----------------