Plume d'argent Inscrit le: 23/7/2011 De: Envois: 230 |
"Excalibur du désir" O toi Excalibur ,merveille du désire ; Mais comment ont il fait pour te subtiliser De cet fabuleuse enclume du souvenirs Merlin l’enchanteur,a presqu’enfin savourer Son impérialisme et son triomphalisme, par l’auto proclamation de ton nouveau roi, bien assis sur le trône de ton fanatisme il tient désormais les manivelles de tes choix, Qui ne feront plus jamais abaisser le pont levis Interactionnel qu’est l’ouverture de tes bras Ou il a cassé les chaînes du souvenirs,
Par cette fantasmagorie, authentique illusion Les chimères mystificatrice Les souvenirs ne sont désormais que des cicatrices
Il réussit à transformer le présent en serpent, qui se faufile en m’étouffant l’existence entre les fissures de notre complicité, tel un boa ne cessant de t’envenimé, car il rejette chaque jour ce venin de dépendance de plus transformé les pensée en fleurs,de lys s’enracinant tout de même sur la robe du temps, qu’il croit bien sur porté majestueusement, après s’être intronisé par ton jugement ;
irrémédiablement , inexorablement, il a transformé tes veines en Venise, car il y a inoculé le fleuve de votre romance, irrévocablement,inéluctablement transformé l épines de notre rose en peines biensur il fait tourné ses utopies –toupies joue aux humeurs yo-yo de mon âme porcelaine transformé votre jolie décor en corde transformé cette vermine qu il est en minerve, transformé cette plaine que tu étais en lapine transformé les mentors que j’étais en monstre.
ainsi dompter le dragon et ses cornes -ronces qui léchait tes nuits de sa langue enflammé pour traverser sans aucun périple ni embûche, la passerelle charnelle de notre intimité, suspendues jadis au dessus de ce lac de lave, désormais démythifiée,désacralisée
il est vrai réussit incontestablement à traverser ce pont de l’épée passerelle ,, qui faisait bien jonction rétrospectivement au rapprochement de nos deux rives corporelles permettant de me rendre à ton château de chair qui faisait jadis bien de manière spectaculaire,, , levé son pont levis forgé de nerf d’acier le dragon gronda mais ne plus rivaliser,
Envoyant les chevaliers de la table ronde , Trouvant le st graal sans aller au bout du monde ces profanateur de manière des plus immonde ont dévaliser cette grotte de l’amour ou se retrouve ensevelit Indiana Jones, archéologue malheureux désappointé , des vestiges profanés qu’il a découvert, sans pour autant malgré toute son abnégation, obtenir le st graal de la fécondation , la douleur double donc d’intensification la corde rongée,le dos couvert de mygales, des mies de notre amour inconsistant et de gale. après tant de périples fastidieux, de scandale. après avoir pénétrer cette forêt noire désenchantée ,et encore sous l’hégémonie, des ombres maléfiques de tes excursions passées.
Comment t’extirper de la forteresse de sa mentalité , Qu’il a su savamment édifier Tyrolien qui gravissait les culminantes montagnes de ton corps de reine dominante lui qui escalader , grimper ,tes falaises, entre lesquelles il avait glisser sa corde charnelle, grâce à laquelle il faisait souvent du rappel, lui qui s’ést enlisé dans tes sables mouvant, n’a pu esquiver bien des piéges,des obstacles, comme le lancer entre les murs de ton cœur , de ses faramineuses flèches de cupidon, maladroitement eu le don d’être cupide
Désempare car désarmé du fouet du désir, du lasso de notre attractivité frappé en plein dans le dos stigmatisé par celui de la terrible réalité, croyant trouvé refuge dans cette grotte magnifique isolé au pied de cette cascade magique ; oû il me semble la première fois avoir fait du rafting, ma corde charnelle s’est arraché de tes falaises, et je suis désormais tombé dans le précipice de l’oubli.
Il tient désormais les manivelles de tes choix, Qui ne feront plus jamais abaisser le pont levis Interactionnel qu’était la dilatation de cette excalibur Aux pouvoirs incommensurables et magique, Ou il a cassé les chaînes du désir, Qui faisait jonction avec ton château de chair et ou tel une abeille bourdonnant dans tes oreilles je faisait coulais le miel de mon plaisir , ma cire, ton château de chair ou il a éteint les lampes torches Ou ne résonne plus les échos de mon crie de cire.
c’est lui qui désormais gambade les prairie de ton innocence, les falaises ,les collines sinueuses, avec le beau cheval blanc de notre romance tu le laisse avaler tes vallées il a trouvé raiponce dans ce donjon,hanté, en grimpant la tresse de tes joies et aspirations, que tu lui avait balancer
tel lancelot parti en quête du st graal, lancelot lance lot d’utopies pour combattre ton mal, il a croisé ton fidèle adultère,, que tu as si bien miniaturisé préférer monter sur la charrue de la honte, sans dignité parmi ce carrefour de suspicions, préférer continuer sur les routes d’un amour cabossé ,, croyant éteindre les lampes torches qui illunminéés jadis ton château charnel éblouit par l’ombre du passé
Aucune raiponce , Prés à s’évader du donjon de ton isolement, En me balancer cette tresse entremêler de nos réconciliations et joies passé, pour que je puisse grimper te délibérer prisonnière dans le cahot, de l’ d’irrationalité
de ce château fort formé par l’argumentaire de ta défense, ou se sont édifié les remparts du silence, et ou les soldats du courage sont tombé de l’échelle de la vérité, assiége par les archers de cupidons que les catapultes à excuses n’arrive pas à brisé
comment réussir à traverser ce pont de l’epeé
éviter l’huile bouillante de la confusion que tu ne cesse de me déverser
votre amour est une chenille qui grimpe sur l’arbre de nos souvenirs votre amour sera un papillon qui volera dans les prairies de la routine, votre amour sera un filet à papillon, tenu par les bras le haine son insecticide
sans excalibur, comment couper le tête de ce présent- serpent, ce sable mouvant qu’est le passé ou je m’enlise pour qui ne rejette plus ce venin de dépendance, comment couper tes veines-venises, ou navigue la barque de votre romance comment couper les veines du temps envenimé par le poison qu’est le fleuve de votre amour immense coupé la corde de cette passerelle de la folie rationnelle que je vais bientôt emprunter
couper sa corde charnelle entre tes falaises qui ne cesse de faire glisser coupé la corde de cette passerelle et stopper le cheval blanc de votre romance couper la tête du présent serpent, ou il s’attache cette vermine-minerve
couper les épines -peines couper le décor-corde, qui sur le potence du temps ; me torture par le garrot des remords car il me tient dans sa ligne de mire l’épuisette qu’est mon courage, fera ressortir le monstre de ses eaux,
Tu as cru monter dans le carrosse du bonheur, Pris l’autoroute du plaisir sans saveur, Tout vas trop vite tu n’ as pas le temps de déguster la vie,
puis leur de faire de uchronie, lui qui peut facilement véhiculer de ton avenir, lui qui lit dans tes yeux comme dans une boule de médium t’as t-il deja parlé, de waterloo, de la catastrophe du sous marin kourk , dans tes futurs eaux baltiques, de apolllo 13, et , de son lancement chaotique de vos projets Titanic confronté à l’iceberg de tes amours nostalgiques,
Quand je pense avoir été un soldat au débarquement de Normandie, Je ne suis plus qu’un cadavre mort sur les plages de l’oubli J’ai vu Christophe colomb débarqué sur une terre , Prôner L’édification de sa nouvelle religion,
sorcier tu brûlera sur le bûcher de l’oubli ou alors sera enterre dans cette foret de Brocéliande, ou plutôt cette forte noire tel indiana jones enterre entre ses deux cœur de pierre au pied de l’arbre de nos souvenirs , que tu n’arrivera jamais à déraciné,
sache que ton présent serpent, saura un jour ensevelit sur les dunes de l’oubli dans ce désert de la mélancolie, sans aucun oasis, prend garde à l’édification de ton auto destruction ton château deviendra château de carte et d’effrondra sous ses pieds sorcier tu brûlera sur le bûcher de l’oubli
ton cœur est une patinoire,ou il exécute, sous tes yeux chapiteaux, tel un acrobate de l’amour,
le noir patine dans mon esprit, accro de la batte,
sache que le monstre du lock ness redeviendra mentors et renversera la barque de votre romance
sache que dans la vie ,quand on fait la rencontre d’une personne , on fait la conjonction de quatre être, le passé,le présent,le futur, et le futur passé avec elle,
indiana jones,merlin l’enchanteur, lancelot,le roi arthur
tu vis dans une réélle fiction, limite excessives, l’amour vous nourrit comme hansel pour que la haine puisse mieux vous dévorer car je connais bien la cinquiéme personne qu’est ton fidèle adultère,
mais merlin l’enchanteur s’est bien gardé de faire disparaître la sixiéme personne celle de votre futur passé, , Je renaîtrais tel un phoenix, De mes cendres dans ta mémoire cendrier, Et survolerai les somptueuses vallées de tes penséés,
si tout ecrit, l’amour comme la vie n’est qu’un anagramme, on a beau changer chaque lettre, on arrive toujours au même maux
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